E B O N Y & R O S E
The small pearl which makes shone the sky,
This hurtful red color which decorates lips,
The sparkling eyes of disastrous hope,
The life has to be to be crisp in full teeth.

Une journée pénible était passé. Gryffindor avait encore gagné une cinquantaine de points grâce à, en partie, la jeune femme que je suis. Ebony Patil, un jeune femme qui ressemble beaucoup à sa mère. Personne peut identifié la personne qui détenait mon caractère autrefois, à Poudlard. Même les professeurs tels que McGonagall ou autre. Dur journée, effectivement. En tant que préfète de ma maison, je me dois de faire gagner des points à celle-ci et d'éviter d'en faire perdre mais rien n'est chose facile quand on pense que les plus indisciplinés font partis de ma maison, pour mon plus grand bonheur d'ailleurs.

Ce soir là, je rejetais une mèche de cheveu brune derrière mon oreille et entamais mon diner en silence, jetant un regard à James et Lily qui parlaient ensemble, comme tout les soirs. Je soupirais. Parfois, j'aimerais, moi aussi, avoir un frère sur qui compter, quelqu'un avec qui parler. La chance n'a pas été du bon côté, c'est si peu dire. Je soupirais et repoussais mon plat après quelques bouchées. Je déterminais ce geste quand je décidais de quitter la table, ce que je fis ensuite. J'étais certaine de partir dans les cuisines après pour avoir la paix et pour réfléchir. Soupirant, je me levais et sortais en direction de la porte de la grande salle, jetant un regard à la table des Poufsouffle puis à celle des Serpentard, où j'apercevais le grand Malefoy et son ami Nott.

ELFE « Qu'es ce que vous faites là mademoiselle ? Le festin a commencé. »
EBONY « Je préfère manger dans le calme et la sérénité, cela nous dérange pas j'espère ? »
ELFE « Point du tout, cela nous fera un peu de compagnie. Nous nous sentons souvent seuls ici.»

Très vite, après m'être assis à la seule table de la pièce, je recevais un plat digne de ma maison. Je le remerciais avec grâce et mangeais en silence. Ce plat était meilleur que ceux qu'ils préparaient pour les maisons toutes entière. Peut-être était-ce destiné aux professeurs ? Ô discrimination alimentaire ! Je soupirais et fermais les yeux, essayant de penser à quelque chose de bon, de bénéfique, de magique. La porte lourde de la cuisine s'ouvrit doucement, grinçant dans un bruit sourd. Je pensais à l'arrivé d'un elfe, oubliant qu'ils pouvaient disparaitre dans un POUF pour réapparaitre dans un POUF. Une silhouette fine et gracieuse s'approchait doucement à pas de souris, vers moi, tandis que je réfléchissais à tout et à rien.
En ouvrant les yeux, je l'aperçus, cette petite Poufsouffle que j'aimais tant. Rosie.

(really not good, sorry, rosie.)