Des échanges de sympathie pleins de hargnes dirais-je Pv Hug's TOPIC CLOSE

Dortoir des derniers années de Serdaigle. Une pagaille ordonnée régnait en maitre dans la pièce. Des livres empilaient tels des tours de Pise du savoir cottoyer quelques malheureux vêtements abandonnés au pied de lits sommairement fais. Dans ce bordel discipliné les bureaux et la bibliothèque étaient de toute évidence les lieux les plus ordonnés. On pouvait y voir soigneusement classés les devoirs et notes de chaques matière, quelques parchemins encore vierges ainsi que des plumes et de l'encre à disposition. Attenante à la chambre il y avait également une salle de bain. C'était d'ailleurs le première endroit, étonnement bien rangé malgré les divers gels douche trainant de ci et là, où se dirigeait Micha après une nuit comme la vieille. Une nuit à révisait biensur n'allez rien vous imaginer. Après donc une petite séance de réveille sous l'eau fraiche il alla s'habiller. Son devoir de métamorphose c'était fait la malle au milieu des feuilles de potions et d'entrainement de Quidditch. La main remise dessus il le glissa dans un classeur qu'il jeta ensuite dans son sac, poupées russes d'étudiant. Finalement il sorti du dortoir avec quelque minute d'avance, serein. Fit demi tour au moment où il allait sortir de la salle commune, il avait oublier sa robe de sorcier. Enfin au complet, aucunes poupées manquant dans le jeux, il débuta sa marche le long des interminable couloirs de Poudlard.

Il chantonnait tout bas un aire dont il ignore le nom mais qu'il lui trotte dans la tête, faisant résonner dans sa caboche comme une mélodie de jazz. Elle lui donna un entrain particulier rythmant sa marche de quelque coup de hanche. Micha allait arrivé à la grande salle, son ventre réclamant pitance. Soudain, cassant le solo de saxo qui ce jouait au milieu de ses méninges, il percuta un élève. Par politesse Micha allait s'excuser; Il était dans la lune et même si l'élève n'avait certainement pas fait plus attention que lui le blond, il était en partie responsable de cette collision. Mais il remarqua alors de quel élève il s'agissait: Hugo Weslay. Cet petite charogne n'était donc pas même capable d'attention l'espace de dix secondes ? De toute évidence non, et Micha ne se priva pas de lui faire fort amicalement remarqué.

- Dit donc Weslay, dès le matin tu es incapable de regarder où tu marche ?

Par Merlin que ce rouge et or pouvait insupporter le Serdaigle. Une vrais tête à claque ce gamin ne pouvait s'empêcher de penser Micha chaque fois qu'il le croisait. C'est pas compliquer depuis qu'ils s'étaient rencontrer, ils ne s'entendaient pas. Mais alors vraiment pas du tout. Pire que chien et chat, leurs rapports n'étaient fait que de prises de becs à répétitions. Voir parfois carrément de bagarres totalement puériles. L'accrochage qui venait de débuter promettait une conversation stérile dans un ton des plus désagréable. Surtout dès le matin pensa le blond.

- C'est fous cette incapacité à seulement regarder où tu met les pieds. Mais je comprend tu discutait, c'était donc trop difficile pour doit de faire les deux.

Le ton sarcastique au possible il sait parfaitement qu'il provoque. C'est même son but. Et puis bien évidement la conversation dégénéra. Le jeune Hugo s'agitait en lui balançant à son tour tout un tas de saletés au visage. L'agacement prit vite sa place sur le visage du demi vélane. Il soupira donc en levant les yeux au ciel. Sa baguette fut vite attrapée et il n'hésita pas une seconde à lancer un sortilège de [b]clalangue|/b] - OJ> désolé je sais plus du tout comment ça s'écrit - au Gryffondor. Le plus jeune des Weslay esquiva. Et oh surprise se dit Micha, au lieu de répliquer comme tout bon sorcier le ferait, c'est à dire par un sort. Hugo en vint directement aux mains. Bien obligeait de se défendre, pour ne pas se laissait faire par une crevette brune gesticulante, et surtout bruyante, Micha répliqua. L'échange de sympathie avait déjà attiré quelque élèves autours d'eux. Mais vite la bagarre qui venait de commençait en ameuta encore plus. Des élèves noyaient dans la foule, donc in-identifiable, encouragés l'un ou l'autre. Seulement le bruit finie par attiré un professeur qui monta en vitesse à la rencontre des deux énergumènes. Qui avaient d'ailleurs déjà réussie à se faire respectivement saignés l'un et l'autre.

- WESLAY ZABINI ! Cessez ces enfantillages immédiatement ! Non mais regardez moi un peu l'état dans lequel vous êtes ! Je vous conduis à l'infirmerie et ensuite direction mon bureau jeunes gens !

Aie, le professeur Mc Gonagald, pas de chance comme on dit. Ils suivirent donc la directrice jusqu'à l'infirmerie. En les découvrant l'infirmière désespéra, se demandant pourquoi dès huit heures du matin les élèves étaient déjà capable de se battre... Le sévère ex-professeur de métamorphose les laissa au mains de la vieille femme, leur rappelant qu'elle les attendait dès qu'ils avaient terminés dans son bureau. Pompfresh sortie quelques minutes pour allait chercher deux trois pommades et potions dans le placard à pharmacie. Ils s'étaient chacun assis sur un lit, face à face. La journée avait si bien commencée se disait Micha en soupirant. Ce satané idiot allait non seulement lui faire louper des cours mais très certainement l'envoyait directe en heures de colle.

- Tu peux pas t'empêcher d'avoir recourt à la violence Weslay ? Regarde dans quelle merde ont se retrouvent à cause de toi !

Ce matin-là, Hugo s’était réveillé en avance. En fait, il n’avait pas vraiment dormi… Il y avait des nuits, comme ça, où on ne parvient à trouver le sommeil qu’au bout de quelques heures, ouvrant les yeux définitivement aux alentours de cinq ou six heures du matin. Et il pétait la forme, ce qui était plutôt étonnant, pour une chose réclamant au minimum une dizaine d’heures de sommeil (qu’il n’accomplissait malheureusement que pendant les week-ends ou les vacances, sauf s’il terminait ses nuits en cours, au lieu d’y mettre le dawa). Il s’était donc levé, douché et habillé en prenant son temps, préparé son sac en faisant le moins de bruit possible (ce qui fut assez compliqué étant donné la discrétion dont il n’était pas doté), et s’était rendu dans la Grande Salle pour calmer son ventre hurlant famine. Assis à la table des Gryffondors, et après avoir dévoré une demi-douzaine de tranches de bacon, ses camarades de dortoir vinrent s’installer près de lui, et ils commencèrent à discuter. Une journée normale débutait, et déjà un sourire barrait le visage pétillant d’Hugo. Puis il lui sembla avoir aperçu sa sœur, Rose, se diriger hors de la Grande Salle. Étrange, venant d’elle ; Rosie était plutôt du genre à entrer dans la salle, à cette heure là, du moins. Cependant, Hugo ne put résister à l’envie d’aller lui dire bonjour, ainsi, il se leva et se précipita en direction de la sortie. C’est alors que quelqu’un le percuta. Se disant que c’était en partie de sa faute, il se retourna et s’apprêtait à s’excuser lorsqu’il reconnut le jeune homme.

-Oh non, pas lui… marmonna-t-il, peut-être plus fort qu’il ne l’aurait souhaité.

Son air affolé laissa immédiatement place à un soupir agacé, tandis que Micha Zabini lui crachait déjà des mots désagréables.

-Et toi alors ? Ton cerveau est certainement trop occupé à chanter pour penser à donner l’ordre à tes pieds d’avancer correctement !

Il lui jeta alors un regard dédaigneux, n’étant pas près à baisser les yeux. Zabini ne lui faisait aucunement peur, c’était plus de l’énervement qu’il éprouvait envers le Serdaigle, il l’insupportait au plus haut point par son air supérieur (alors qu’il était loin de l’être, soyons d’accord). Et l’autre répliqua, et le ton qu’il avait employé fut la goutte de jus de citrouille qui fit déborder le pichet. Pourtant, il avait été de bonne humeur, une fois son ventre rempli ! Mais la mauvaise nuit passée réanima ce sentiment de frustration, et se mélangeant avec la vue de cet idiot, forcément, Hugo ne put passer son chemin en criant « peace and love, mes frères ! ».

-Non mais je rêve ! Rien ne t’empêchait d’ouvrir les yeux, espèce de Patacitrouille pas fraiche !

Mais comme s’il n’en avait pas assez, Zabini sortit sa baguette magique et prononça une formule magique. Quel crétin ! C’était lui qui cherchait les ennuis, vraiment ! Bien évidemment, Hugo esquiva le rayon de lumière – il était très doué dans ce domaine là, des années d’expérience à éviter tous les pièges mis en place par l’ensemble des professeurs et du concierge pour essayer de l’attraper. Sauf que lui, il avait oublié sa baguette magique dans le dortoir, il venait de s’en rendre compte. Ah, c’était bien son jour ! Mais pour ne rien laisser paraitre, et surtout pour faire comprendre au Serdaigle qu’il n’aurait pas du faire ça, il releva ses manches (qui étaient déjà retroussées jusqu’aux coudes, mais on s’en fiche, c’était pour l’effet), et s’avança vers Zabini, lui assenant un brutal coup de poing au niveau du visage. Haha, il ne l’avait pas loupé ! Mais le répit fut de courte durée, puisque son adversaire répliqua. Non seulement il répliqua, mais il fut plus rapide qu’Hugo l’avait été, si bien qu’il n’eut pas le temps d’esquiver une seconde fois.

La guerre était donc déclarée…

Et PAM ! un coup de poing ici, et PAM ! que je te plaque au sol, et PAM ! que j’essaie de te mordre, et puis PAM ! que je me reçois un coup de pied dans le ventre… Les élèves se sont rassemblés autour des deux énergumènes, fous de joie d’être témoins d’une scène d’action de si bon matin, ravis de pouvoir même voir un peu de sang pour donner de l’effet. Intérieurement, malgré les coups qu’il donne et reçoit, Hugo parvient à dessiner sur ses lèvres un petit sourire en coin en entendant certaines voix crier son nom.

Et évidemment, un professeur ne tarda pas à se pointer. Et évidemment, ils allaient devoir passer par l’infirmerie. Et évidemment, ils allaient ensuite devoir aller dans le bureau dudit professeur. Ce qui signifiait retenues, au pluriel. Ce qui signifiait également lettre aux parents, et une nouvelle série de reproches. Rien à dire, c’était vraiment une fabuleuse journée qui débutait…

-A cause de moi ? répliqua le Gryffondor une fois à l’infirmerie. C’est toi qui as voulu me jeter un sort ! Et c’est toi aussi qui as continué à vouloir me frapper ! Tu n’es eu que ce que tu mérites. Si tu avais regardé devant toi, aussi…

Puis il leva les yeux au ciel et se tourna légèrement de façon à voir le moins possible le visage de Zabini. Moins il le voyait, moins il lui parlait, mieux il se portait. Mais visiblement, il allait avoir à faire à lui plus qu’il ne l’aurait voulu. Tout ça pour une seconde d’inattention !

-A cause de moi ? C’est toi qui as voulu me jeter
un sort ! Et c’est toi aussi qui as continué à vouloir me frapper ! Tu
n’es eu que ce que tu mérites. Si tu avais regardé devant toi, aussi…

Allons bon voila que maintenant ceci était uniquement de sa faute !
Surement pas non ! Certes il aurait pus au départ regarder devant lui.
Mais c'était le cas pour l'un et l'autre ! Pas uniquement pour lui. Non,
non, non Micha n'était pas seul responsable et n'avait pas ce qu'il
méritait. Il était injustement puni. Et ceci car un petit enquiquineur
n'était pas capable de se défendre comme tout bon sorcier qui se
respecte. Il n'avait lancé qu'un malheureux sort contre Hugo et voila
que l'autre en faisait tout une affaire d'état. Pourquoi pas lancer les
Aurors à la poursuite de Micha aussi ? Le sort n'était même pas lancer
dans le but de blesser. Il n'aurait pas utilisé celui-ci sinon croyait
moi. Il était plutôt fait pour dissuader le Gryffondor de continuer la
dispute. Effectivement il dénotait clairement un "
laissé-moi-tranquille-merci". Hors il était évident que le rouge et or
n'avait pas compris le message.
Ils c'étaient donc retrouvés à se battrent comme deux chiffonniers. Bien
évidement maintenant ils étaient à l'infirmerie, et son nez le faisait
horriblement souffrir. Il devait être cassé d'ailleurs... Arg horreur,
la potion pour les nez cassés était vraiment imbuvable. Lui qui avait
faim, la première chose qu'il allait pouvoir avaler était ce truc
immonde. Une envie d'étrangler le petit cafard qui lui faisait face
montait en lui, et c'est bien par-ce que la violence inutile le répugne
encore plus que la vue du Gryffondor, qu'il se retenait. Il fallait
aussi avouer que le serdaigle était beaucoup sur les nerfs en ce moment.
Il avait de nombreux devoirs à finir, sans parler du stresse général
des Aspics à la fin de l'année. On n' aborde même pas le problème avec
la sœur de Hugo. Oui car depuis plusieurs mois Rose ne parle plus du
tout à Micha. Et pour cause celui-ci lui à menti, pas dans l'intention
de blesser ni rien, juste qu'il s'agit là de son caractère. Il finie
toujours par devoir mentir au gens... Et ceci systématiquement finie par
lui porter préjudice. Hors avec Rose il refusait que leur amitié se
termine sur une telle stupidité ! Alors oui oui c'est vrais que Micha
c'était énervé aussi parce-que qui pense Hugo pense à sa sœur. Et que
Rose l'avait envoyer paitre justement la veille. Voyant le plus jeune
des Weslay se tournant pour ne pas le regarder, la ressemblance avec sa
sœur le frappa. Puis ce fut la colère qui soudain emplit son être. Il
cracha donc ces mots, avec toute la hargne qu'il pouvait. Son seul but
était bien là de blesser le Gryffondor.

- Tu n'as pas plus regarder devant toi que moi
Weslay. Surement était tu trop occupé à chercher la prochaine pauvre
fille qui serait ta victime. Tiens c'est vrais ça on ne te voit plus
avec le jolie blonde de serdaigle. Bah surement tu as dut la jeter
lamentablement où la telle fait avant toi en remarquant quel charogne tu
es !

[ désolé du post aussi court ><;; je me rattraperais la
prochaine fois promis. - le coup du bug de modzilla m'as blasé pour ce
post si - ]

Ce n’était pas la première fois qu’Hugo mettait les pieds à l’infirmerie, loin de là. Un cas social comme lui, ça passait forcément par là, que ce soit après une chute rocambolesque dans les escaliers pour échapper ou poursuivre on ne sait quoi, ou encore suite aux tests foireux des produits de la boutique de son père et de son oncle, ou alors des accidents de Quidditch… bref, vous l’avez compris, ce n’étaient pas les raisons qui manquaient pour justifier la présence du Gryffondor ici. Mais quoi qu’il en soit, ce jour-là, Hugo avait envie de tout sauf de se retrouver ici, aux côtés d’un mec qu’il ne pouvait pas voir en peinture. Surtout que Zabini en portrait chez les sorciers, il devait être encore plus chiant que le chevalier fou. C’était ça au moins son nom, à l’autre zigoto ? Aucune importance. Vite, que l’infirmière se pointe, qu’elle le répare, et qu’il reparte gambader dans les couloirs du château. Il fallait qu’il voie Rose, il avait beaucoup de choses à lui raconter – en plus de cette mauvaise rencontre – et… Et Zabini ouvrit la bouche, lâchant une vague de mots qui ne laissèrent pas Hugo insensible.

Il avait osé… comment pouvait-il… Non, mini Weasley, ne laisse rien paraitre. Respire… Il fait ça exprès pour te faire enrager. Alors stop, détends-toi…

-Evanna. Elle s’appelle Evanna, rétorqua-t-il malgré lui.

Le jeune homme ne se retourna pas tout de suite, tentant de chasser l’air contrarié qui barrait son visage à présent. Il ne devait pas donner l’impression à Micha qu’il avait eu raison sur ce coup-là, qu’il avait su où le toucher. Et bien soit, s’il voulait jouer à ça… ils allaient jouer. Hugo était un grand joueur, et il se moquait bien de la phrase qui disait que se battre et se balancer des vacheries ne réglaient aucun problème. Il était un Gryffondor, et un Gryffondor, ça n’hésitait pas à se bagarrer. Encore moins lorsque c’était l’adversaire qui provoquait. C’était exactement comme au Quidditch… Zabini jouait au poste de gardien, et lui, au poste de poursuiveur. Autrement dit, le Serdaigle était chargé d’empêcher Hugo de marquer des buts. Pour l’instant, l’autre menait la partie. Weasley n’allait pas laisser faire ça. En se retournant légèrement, il reprit un air plutôt décontracté, tirant légèrement sur le sarcastique et répliqua, décidant d’aller dans son sens :

-Au moins, c’est moi qui l’ai laissée tomber. Comment ça va, entre Rose et toi ces derniers temps ? Il me semble bien qu’elle m’ait parlé de… d’une légère altercation entre vous, hier. J’espère sincèrement que… non, rien, en fait.

Et il se tu, savourant l’effet de sa contre-attaque. Haha, peut-être un point partout ? Eh oui, Hugo était au courant de l’histoire entre sa sœur et Zabini, bien qu’il ne connaisse pas vraiment les détails. Il en savait juste assez pour savoir qu’il avait un truc pas tellement cool, et que depuis, elle ne lui adressait plus la parole. A vrai dire, le Gryffondor y trouvait un côté positif ; il n’aimait pas voir Rosie trainer avec ce genre de personnes, bien qu’elle soit entièrement libre du choix de ses fréquentations. En attendant, le sentiment d’aversion entre Micha et Hugo n’allait que s’intensifier au fil de cette conversation… Oh bon sang, il aurait mieux fait de rester couché ce matin, insomnie ou pas.

-Evanna. Elle s’appelle Evanna, rétorqua cet idiot. Micha le toisait, vaguement hautain, terriblement glacial.

- Oh tu t'en rappel ? Je suis éttoné là Weslay.

La voix remplie de mépris, il jeta un regard rapide vers le bureau de l'infirmière. Il se demandait ce que cette femme pouvait bien chercher pour mettre autant de temps. Quoique réflexion faite, ce devait être une manigance de la directrice. Son beau-père lui en avait parlé. La vieille femme avait été très proche d'Albus Dumbledore de son vivant. Elle avait très certainement était influencée par les manières de faire du vieux sorcier. Effectivement, Blaise lui avait expliqué que le vieil homme aimait particulièrement "s'arranger" pour que des élèves qui ne s'entendaient pas se retrouve seul au calme et discutent. Surement une vaine tentative pour les réconcilier lui et Hugo donc. La directrice avait dut demander à l'infirmière de prendre tout son temps pour chercher les remèdes. Ainsi espéraient-elles surement les contraindres à discuter tout les deux. C'est vrais que réussir à entretenir un dialogue passif, non pas amical mais simplement calme avec Hugo lui faciliterai la vie. Oh pas énormément biensur. Le changement ne serait ni violent ou radical, une amélioration légère au mieux. On éviterais les séjours à l'infirmerie, que Micha redoutait plus que tout au vue de son léger... Secret. De ce fait il éviterait évidements de se battre. Et cela était vraiment très important pour le Serdaigle. Il n'aimait pas la violence. Il détestait avoir recoure à celle-ci, même s'il n'hésitait pas à la faire si on l'attaquait. La colère qu'il éprouvait contre le brun venait très certainement de là aussi. Micha ne comprenait pas que pour résoudre un conflit, le premier réflexe soit de cogner. La vie n'était elle donc pas suffisamment violente pour que les humains ressentent ce besoin de se frapper ? Ce genre de violence gratuite lui donnait la nausée. Et certes c'était exagéré, oui il avait provoqué Hugo. Mais la violence qu'il ne supporte c'est celle des poings. Celle qui blesse le corps... c'est qu'avait subit son père... Une seconde son regard se fit sombre, une grande tristesse l'avait envahie. Il chassa bien vite ce souvenir, le dédain reprenant sa place sur son visage. Mais, comme la vie est pleine de surprise, les expressions glissent et changent sur les visages aussi vite que l'océan. C'est donc en entendant les paroles du Gryffondor que la colère chassa le dédain.

-Au moins, c’est moi qui
l’ai laissée tomber. Comment ça va, entre Rose et toi ces derniers temps
? Il me semble bien qu’elle m’ait parlé de… d’une légère altercation
entre vous, hier. J’espère sincèrement que… non, rien, en fait.

Tss ce gamin n'était décidément qu'une enflure, qui ose parlait de ce qu'il ne comprend pas ! Et mentir par dessus le marché. M'enfin ça c'était ses oignons. Au pire Micha possédait une excellente mémoire. Il saurait se souvenir si besoin le fait que se soit Hugo qui est soit disant quitté Evana. Ce n'était soudain plus de la colère, mais de la rage qui naquit sur les traits du Serdaigle. Une aura menaçante émanait de lui. Ce n'était certes pas très distinctif, mais suffisamment pour-qu'il semble soudainement que la haine s'était matérialisée sur son visage. Comme une allégorie de la menace. Son regard se fit plus clair, presque morbide. Heureusement on entendit des pas se rapprochaient. L'infirmière fit son entrée, les bras chargés des divers potions.

- Jeune gens par qui je commence ? Il me semble avoir vue que votre nez avait pris un mauvais coup monsieur Zabini. Tournez vous donc vers moi.

Micha avait repris un air totalement normal. Le turquoise de ses yeux avait récupéré sa teinte brillante, vivante, de tous les jours. Il évitait soigneusement celui de Hugo, se tournant pour faire face à l'infirmière qui les observait toute deux légèrement suspicieuse. Micha lui sourit. Ce qui de toute évidence marcha parfaitement puisque la femme se recentra sur lui. Et avec une attitude soudainement maternel, toute traces de méfiance envolait, elle commença à le soigner.

- Ce n'est pas grave madame, je pense que c'est juste fêlé. Une potion pour nez cassé et se sera guéri.

Ok, Hugo mentait. Mais il n’était écrit nulle part qu’il devait dire toute la vérité, tout le temps, à tout le monde. Oh et puis zut, en quoi ça regardait Zabini, ses histoires de cœur, hein ? Non mais oh. Chacun sa merde. Qu’il lui fiche la paix, qu’ils ne s’adressent plus la parole, et tout irait mieux. Mais que voulez-vous, répliquer, c’était plus fort que le Gryffondor, il devait ouvrir la bouche tout le temps, au grand dam de son entourage… Alors oui, peut-être que c’était en partie sa faute s’ils étaient allongés là, mais tout avait commencé avec le maléfice lancé par le Serdaigle. Bon, le nez ne s’était pas cassé tout seul non plus, mais ça n’était pas si grave, de toute façon. L’infirmière pouvait arranger ça en un clin d’œil. Alors pourquoi se prendre la tête pour si peu ? Hugo ne releva pas non plus la remarque faite par Micha suite au rappel du nom de l’ex petite-amie du premier, se contentant de lever les yeux au ciel en signe d’exaspération. Ils s’étaient assez battus, pas la peine d’en rajouter. Pas pour le moment, du moins… Car il en fallait finalement peu pour que le jeune Weasley réplique de nouveau.

Puis il se passa quelque chose d’absolument étrange. Même dans le contexte sorcier – surtout dans le contexte sorcier, en fait. L’infirmière venait (enfin) d’arriver et s’apprêtait à faire ingurgiter aux deux élèves des potions en tout genre. Hugo finit par se retourner complètement vers Zabini et elle, et jeta un regard furtif vers son adversaire. Lequel sembla alors être épris d’un… d’une… comment dire ? Sa tête faisait flipper. C’était comme s’il éprouvait une rage démentielle qui se transmettait sur son visage de façon exagérée, exceptionnelle. Son regard devint plus clair, et Hugo eut l’horrible impression de se trouver aux côtés d’un mort-vivant… Cela n’avait duré que quelques secondes. A la fois surpris et mort de trouille, le Gryffondor se redressa d’un bond, s’appuya sur ses deux coudes mais retomba aussitôt : son bras gauche le faisait souffrir. Laissant échapper un soupir sonore, son regard alla se poser sur l’infirmière qui visiblement n’avait rien remarqué, et pour cause, elle venait juste d’atteindre leur niveau et parlait à présent à un Zabini souriant.

Hugo se mit alors à se questionner. Avait-il rêvé ? Avait-il été victime d’une hallucination suite à leur bagarre ? Ou ce visage avait bel et bien été réel ? Oui, c’était ça, c’était forcément ça… Le Gryffondor était sain d’esprit, et ce n’étaient pas quelques malheureux coups qui allaient lui faire perdre la tête. Surtout qu’il avait vécu bien pire, comme situation, et il ne s’était pas mis à halluciner suite au carnage effectué par Venceslao… Mais ne parlons pas de ça. Quelques minutes plus tard, l’infirmière retourna chercher dans un placard le bandage nécessaire pour la blessure du bras d’Hugo, et ce dernier en profita pour glisser ces quelques mots au Serdaigle :

-Qu’est-ce qui t’es arrivé ? J’ai pas rêvé, hein, j’suis pas fou… J’ai bien vu que…

Il s’interrompit, car déjà la femme revenait, et à vrai dire, il ne savait pas vraiment s’il pouvait se permettre de lancer à l’infirmière « hey, madame, Zabini, il doit être malade, parce qu’il a tiré une tête étrange y’a pas deux minutes… vous pourriez jeter un œil, juste pour je puisse m’assurer que je ne deviens pas dingue ? ». Ok, mini Weasley ne faisait pas toujours preuve d’une grande délicatesse, mais quand même…

Mais quand même, c’était flippant. Et Hugo parvint tant bien que mal à effacer cet écarquillement d’yeux, tandis qu’on venait pour le soigner à son tour.

*Psychopaaaaathe…* se murmura-t-il intérieurement.

Et merde merde merde ! Mais quel con ! Il s'était laissé aller à de la colère et du coup Wes-nain junior avait pus voir ce qu'il ne devait ab-so-lu-ment pas voir ! C'était une véritable catastrophe ! Sa mère lui avait pourtant bien expliquée de faire attention lorsqu'il se mettait en colère. De ne pas se laisser dominer par la magie en lui... Et Micha comme un abrutis en entendant ces stupides provocations sur sa relation avec Rose, il s'était totalement laissé dominé ! En plus si jamais Weslay se disait " et si je faisait des recherches sur ce que je viens de voir ? ". Par-ce que c'était sure que le petit brun avait tout vue... Micha avait clairement remarqué le sursaut d'Hugo, ainsi que son air d'ahurie angoissé. Le cerveau tournant comme des turbines d'avions à réactions le blond laissait l'infirmière le soigné, restant en apparence parfaitement calme. En apparences tout du moins. Peut-être que Hugo n'avait pas bien vue. Peut-être que cet idiot penserais à un reflet du au soleil, à un contre coup de leur bagarre...

-Qu’est-ce qui t’es arrivé ? J’ai pas rêvé, hein, j’suis pas fou… J’ai bien vu que…

Ou pas... Les pires craintes du Serdaigle se révélaient fondées. Hugo avait bien vue l'infime transformation sur son visage. Enfin infime, des yeux de zombies psychopathe ça se remarque bien en général. L'infirmière c'était éloignée pour allait chercher une bande. Mais alors qu'il voulait répondre au Gryffondor celle-ci revenait déjà vers eux. Il se contenta donc de jeter un regard glacial au rouge et or. Les méninges en ébullition il inventait milles scénarios à la seconde pour expliquer ce soudain changement d'apparence. Des gènes de Métharmorpmage récessifs, de la magie sans baguette déclenchée par la colère, une hallucination dut au potions récemment utilisait par l'infirmière... Seulement dès qu'elle arrivait l'excuse s'évanouissait aussitôt, trop bancal, improbable ou tout simplement irréaliste, même pour le monde des sorciers. Toujours perdu dans ses pensées, Micha fut surpris par la soudaine présence de la directrice dans la pièce. Il lui fit un sourire nerveux, arrivant de moins en moins à cacher le stresse qui l'envahissait. La vieille femme leur ordonnas de la suivre, toujours aussi sèche qu'un peu plus tôt dans la journée. Alors qu'ils marchaient tout les trois dans le couloir, Micha en profita pour s'approcher et glisser quelque mot à l'oreille du Gryffy.

- Tu as rien vue du tout Weslay, suis-je clair ?

L'angoisse lui faisait dire n'importe quoi. Pire elle lui faisait dire exactement ce qu'il n'aurait pas dut, dire au cinquième année. Avec une telle phrase la curiosité du jeune allait être multiplier par milles. Par merlin! Il était vraiment dans de beaux draps pour le coup...

Micha n’eut cependant pas vraiment le temps de lui répondre – s’il comptait le faire – car déjà la directrice revenait les chercher. Hugo abandonna l’idée de protester à l’instant même où elle lui traversa l’esprit : il ne pourrait de toute façon nier qu’il n’y était pour rien. Pas pour ce coup-ci. Tant pis, dès le soir même, il allait certainement recevoir une beuglante de ses parents, et Rosie allait arriver en courant vers lui pour qu’il lui raconte avec détails ce qu’il s’était passé. Le Gryffondor soupira tandis qu’il se levait pour suivre la vieille femme en dehors de l’infirmerie. Comme s’il avait besoin d’elle pour trouver le chemin de son bureau… Mais alors qu’ils marchaient tous trois en silence, Zabini s’approcha un peu trop près d’Hugo à son goût, et lui murmura comme une menace quelque chose à son oreille.

« Tu n’as rien vu du tout Weasley, suis-je clair ? »

Oh… houlà ! La chose qu’il ne fallait surtout pas dire. Le Serdaigle aurait pu dire n’importe quoi d’autre pour dissimuler la forme qu’avait pris son visage, il aurait pu faire passer ça pour une hallucination de la part de son adversaire, ou encore lui dire un truc du genre « ce n’est rien du tout, pauvre crétin » (quoi que le « crétin » aurait certainement été mal pris, mais il était certain que Micha ne s’en serait pas privé). Mais non. Il avait choisi la carte de l’incitation à la découverte. Bah oui, avec une telle phrase, comment ne pas éveiller la curiosité du mini Weasley ? Ce dernier allait forcément chercher à savoir, ainsi, il se promit intérieurement qu’une fois sorti du bureau de la directrice, il filerait à la bibliothèque. Quoi que non, il avait cours ; non pas que l’idée de sécher lui déplaisait, bien au contraire, mais il s’était assez fait remarquer pour la journée. Pour la matinée. Alors oui, il irait en cours (en retard, certes, mais il y serait), et il se rendrait à la bibliothèque de l’école en fin d’après-midi. En attendant, il fallait assurer à Zabini qu’il « n’avait rien vu ». Il ne le croirait pas. Alors jouons provocation.

Après quelques secondes de silence seulement ponctué par les bruits de pas, Hugo se pencha à son tour vers le Serdaigle et lui chuchota :

-Vu quoi ?

S’il avait été sérieux, ça aurait suffi pour faire comprendre à Micha qu’il ne comptait pas aller chercher plus loin, seulement Weasley se recula légèrement en adressant au Serdaigle un regard lourd en sous-entendus, avec un sourcil haussé. Du genre « mais bien sûr, fais moi confiance que je trouverai ce qui ne va pas chez toi, mon pote ». A coup sûr, il allait s’attirer des ennuis, et il fut persuadé qu’ils n’en resteraient pas là. Non, Hugo ne se sentait pas coupable. Bien entendu, ce qu’il découvrirait (parce ce qu’il découvrirait quelque chose), il le garderait pour lui, puisque visiblement Zabini ne tenait pas à ce que cela se sache. Le Gryffondor n’était pas un salaud à ce point.

Ils entrèrent dans le bureau de la directrice, et celle-ci leur donna à tous les deux deux heures de retenues, et précisa qu’une fois sortis, elle s’empresserait d’envoyer un hibou à leurs familles.

« Weasley, ne pouvez-vous pas rester un seul instant tranquille ? Quant à vous, Zabini, je ne pensais pas que vous seriez assez idiot pour entrer dans ce petit jeu là… »

Hugo leva les yeux au ciel en enfouissant les mains dans ses poches. Vite qu’elle termine son discours (qu’il connaissait par cœur) et qu’ils sortent d’ici ! Ce n’était pas qu’être dans ce bureau l’embêtait, ni la présence de Zabini, mais… presque. D’autant plus que ce dernier avait un secret qu’il ne tarderait pas à découvrir… mwahahaha.

Sur le visage de cet idiot de rouquin, il voyait gravé sa déchéance. Les turbines du cerveau de mollusque de son compagnon était de toute évidence en pleine effervescence. Micha pouvait parfaitement voir grâce à quelques coups d'oeil plus ou moins discret, les divers émotion passer sur ses traits. Il était fichue. Ou peut-être pas, tout dépendait. Il pouvait sûrement filer le jeune Weslay. Coup de chance leur dernièr cour de la journée était côte à côte. Pour une fois ce qui normalement était une calamité serai un avantage non négligeable. Légèrement rassuré il s'accorda un petit soupir. Mais son répit fut de courte durée dès qu'il vit l'air de démon du gamin. La phrase, prononçait avec un provocation pure et simple, le fit totalement déchanter.

Hugo

Chuchota le rouge et or au Serdaigle.

Il balança un regard purement glacial au gryffondor. De toute évidence il avait plus que légèrement titiller la curiosité du jeune homme. Il était empêtré dans de très sale draps. A chaque seconde ils se resserraient un peu plus autours de lui, Hugo le regard plein de sous-entendus le toisé en haussant un sourcil. C'était non seulement la colère qui commencer déjà à le ronger mais déjà la peur grignoter du terrain. En tout état de cause, c'était bien lui qui avait cette putain de connerie donc il n'avait qu'à s'en mordre les doigts. La terreur l'emplissait comme une plage déserté, soumise à la marée. Son venait de s'accélèrer sensiblement, le sang pulsé dans une infernale mélodie à sa oreilles. Si jamais il était découvert, c'était le renvoi assuré. Jamais les élèves n'accepterai un hybride, si léger soit-il. Il allait finir rejetait ou harcelai, il y aurait ceux qui accepte et défende. Mais il n'y en aura sûrement une armée. Beaucoup lui reprocherons de l'avoir cacher. Il y aurai un bataillon entier de fille qui aurait enfin des réponses à leur question, et elles auraient enfin des parfaite raison pour le lapider sur place.Et puis, il fallait bien voir les choses en face. Micha a une honte gigantesque vis à vis de sa condition. Il déteste sa mère pour ce fait et n'assume pas ce qu'il est. Ca faisait tellement cliché qu'il n'était, par dessus le marché, pas capable d'en parler. Sylver oui le savait, mais c'était l'exception qui confirma la règle. être à demi vélane, pour un mec. Ca faisait gay en puissance, et dès que ses pensée allaient dans ce sens ci, il avait en pus honte de réfléchir de la sorte. Par-ce que, techniquement il n'avait rien contre les hommes qui aiment les hommes, mais il a peur du regard des autres sur ce point. Terriblement peur même. Autant ce que penser sa famille de lui lui était totalement égale, la vision de ses amis, de son entourage à l'école et plus tard sûrement, ça sa lui filait des sueurs froides. L'idée que Weslay puisse garder pour lui cette découverte ne l'effleurer même pas. Oh pas par-ce qu'il pensait que le jeune homme soit foncièrement un salopard, mais par-ce que sincèrement, qui en sachant n'aurait pas envie d'en parler ? A sa soeur par exemple. Boudiouc, Rose. C'était a cause de cette fichue tête de mule aussi qu'il était sortie de ses gonds ! Enfin, quand on reprend l'histoire au début, il n'avait qu'à faire preuve d'un peu de courage et ne pas mentir à rosie. Il n'y pouvait pas grande chose, il avait une nature profonde de couard. Ca devait être un vieux de ses ancêtres mangemort maudit. Par-ce que, quelque part, même s'il cherchait par tous les moyens à déroger des traces de sa famille, il est de ceux qui eu mal et depuis son devenu lâche. Oui il fallait bien assumait, être devenue de ses larve sentimental, qui fuit le mot difficultés avant même qu'il s'esquisse dans leur horizon. Un fois dans le bureau un peu trop visiter ses temps ci de la directrice, il subit le sermon logique.Elle leur rappela qu'il ne devait pas se battre, que sa donner un mauvais exemple au plus jeunes années. Surtout de la part de Micha qui était en dernière. Se retenant de soupirer, l'ennuie et l'inintéressement typique de l'adolescent face aux remontrance de l'adulte, Micha observait ce qui composait le motif du sol de la pièce. Il écopait de deux heures de retenus, ce qui en soit était un punition laxiste détonnant la lassitude de Macgo face à leurs frasques.

Directrice -

Weasley, ne pouvez-vous pas rester un seul instant tranquille ? Quant à vous, Zabini, je ne pensais pas que vous seriez assez idiot pour entrer dans ce petit jeu là…

ils étaient sur le points de sortirent. Rajouter cette petit phrase c'était malgré tout leur faire bien comprendre que c'était de la déception qu'elle ressentait devant leur comportement de gamin aux taux de téstostérone en yo-yo. Mais qu'en avait à faire un adolescent, de décevoir l'adulte ? Les grands, sa déçois si souvent les enfants, ce n'était pas pour ça qu'on qu'ils finissaient en heures de colle. De toute manière, dans le cas de Micha avec de la chance il y aurai bien Scorp ou Lexie colle pour pouvoir s'amuser. Ils venaient tout deux de re-sortir d'entre les ailes du phéonix directoral, qu'immédiatement Micha retint wesnain. La main posé sur son épaule, le regard du bleus et bronze ossiler entre rage et angoisse. Il s'écoula quelque secondes avant que finalement il ne laisse le rouge et ro partir.

Micha

Au faite, si tu pouvait arrêter de courir après scorpius aussi. Je sais que ton dada c'est le blonde avec du caractère mais enfin arrête d'être en permanence dans mon champ de vision des que je suis avec mon meilleur pote.

Sans prendre la peine d'attendre la réaction, la réplique d'Hugo il avait tourné les talons et s'éloignait dans le couloir direction la serre de botanique. Il ne fallait cependant pas que le petit cinquième années se fasse la moindre illusion. Micha aller le suivre à la trace, surtout dès qu'il s'approcherai de la bibliothèque. Cette bagarre stupide avait déclenché un emmerdement beaucoup plus grand que prévue. Et il fallait donc tuer le curiosité du cadet Weslay dans l'oeuf.

Spoiler:

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